samedi 24 mai 2008

Social World in Progress, Version 2.4

(Voir l’original ici )

Comme vous avez pu le remarquer, la dernière modification apportée concerne le “sommaire”, la petite phrase de sous-titre. De “Réaliser le monde meilleur”, elle est devenue “Faire le monde meilleur” et il s’agit-là d’un changement d’importance. “Faire le monde meilleur” coule plus de source et correspond mieux à la réalité.

Je veux dire par là que le monde meilleur étant, selon moi, le monde qui propose et qui offre à chacun le moyen d’exprimer ce qu’il a de meilleur dans l’intérêt de tous, l’affaire n’est pas technique. Elle relève de la décision et de l’engagement de chacun. Et si chacun, là où il est, fait ce qu’il doit faire pour cela, alors le reste, tout le reste, coule de source. C’est d’ailleurs, je m’en rends compte, la raison qui m’a poussé à créer ce Think Tank sur une plate-forme de réseau social. Il fallait en faire démarche ouverte sur le monde, c’est-à-dire sur les autres. Tous les autres. C’est-à-dire, chacun. C’est-à-dire vous.

La balle est donc dans le camp de chacun. Et, le site existant, même si c’est encore de façon embryonnaire, la partie est commencée. A chacun de jouer pour faire le monde meilleur. Dans un premier temps, il suffit de venir, de voir et ... de réussir.

Social World in Progress, Version 2.3

Le sommaire est devenu “Réaliser le monde meilleur”. La formule remplace “Réaliser, maintenant, un monde meilleur”.

Le changement est motivé par le fait que l’ancienne version renvoyait à un problème. La nouvelle version aborde la question sous l’angle de la solution. Le monde meilleur existe. Il est en chacun des hommes. Reste à le révéler. L’objet de Social World in Progress est de faire en sorte que cela advienne.

Du coup, l’intitulé du Groupe : “Droit des enfants” devient “Droit des enfants du monde meilleur”.


Social World in Progress, Version 2.2

(Voir l’original ici )

Passé la phase technologique, très constructive sur Ning,je m’aperçois que j’interagis avec le contenu.

Les billets de cette catégorie “Historique du Site” vont justement permettre de suivre l’historique des changements et des améliorations apportées au site. Il sera plus facile alors aux nouveaux venus de prendre le train en marche et de comprendre les tenants et les aboutissants non seulement de telle ou telle fonctionnalité, mais, le plus important, de s’approprier l’esprit même de l’initiative “Social World in Progress”. .

Hier, jeudi 21 mai 2008 j’ai modifié le “sommaire” (le sous-titre du site), la description et les mots-clefs.
L’ancien sommaire (Digital literacy ; école et entreprise sociales ; éthique) était composé en fait de mots-clefs. Le nouveau “Créer un autre avenir”, renvoyait à la vision et à l’objet.

Quant à la description, je me suis aperçu qu’elle m’amène à me poser un tas de questions non seulement sur la finalité de ce réseau mais aussi sur sa nature. Compte tenu des besoins, je crois que plus qu’un “réseau social”, il s’agit de créer un “Think Tank” la dimension réseau social résidant dans la dimension “open resource” de ce Think Tank… Le fait aussi qu’il puisse aller plus loin. Du coup, la description adoptée ce matin est devenue : “Le “Think Tank” collaboratif “open resource” du Mouvement des Enfants du Monde pour le Développement®”

Cette formule présente l’intérêt majeur de formaliser le lien existant entre ce projet de Think Tank et le Mouvement des Enfants du Monde pour le Développement® qui a pour objet d’apprendre aux enfants, dans le cadre scolaire, à s’approprier les nouvelles technologies en vue apporter des solutions pratiques viables à des besoins locaux en créant des activités humaines, sociales et économiques pérennes, elles aussi, locales.

Du coup, cela m’a amené à changer à nouveau la description qui est devenue : “Réaliser, maintenant, un monde meilleur” qui me semble, à l’image de ce que veut être la démarche, plus immédiatement engagée.

Qu’en pensez-vous ?


jeudi 22 mai 2008

200 % ou 300 %

200 ou 300 % tel est le retour sur investissement minimum attendu par les capital risqueurs en-dessous duquel ils ne sont pas intéressés… d’après ce billet.

Pas étonnant donc que cela finisse par écrémer et déterminer la nature de ce qui fait l’innovation. Malheur à tous ceux dont les besoins et les activités ne produiront jamais de telles valorisations financières. Je pense, en particulier, à tout ce qui concerne l’intérêt général et les parties “pénibles” et “coûteuses” des processus de la vie quotidienne de chacun. Dans les pays développés comme dans les pays en voie de développement. C’est ainsi que s’instaure une logique de dégradation de ce qui fait la vie quotidienne de tous à l’exception de ceux qui vivent à 200 % ou 300 %. C’est ainsi que l’on démantèle à tour de bras les services publics pour permettre à ceux-là de gagner 200 % ou 300 % et plus au détriment de tous les autres avec pour conséquence direct de voir les services rendus condamnés à décliner faute de cohérence (tout ce qui relève du “commercial” comme du “service après vente” aussi bien dans le public que dans le privé d’ailleurs).

Ces chiffres méritent d’être médités le jour même où les transports en commun sont en grève en France et où les salariés défilent dans les rues pour tenter de lutter contre la dégradation des conditions de leur fin de vie.

Peut-on lutter, sans autres formes de procès, contre des modes de pensée liés à l’attrait de profits portant sur deux à trois fois la mise dans le moins de temps possible ? Tel quel, non ? Autrement cela se saurait.

Et ce pour une raison, somme toute évidente sinon simple : ce n’est pas tant contre des modes de pensée qu’il convient de lutter que contre une certaine vision de la vie et du monde.

Telle est la raison pour laquelle, je viens de lancer sur la plate-forme Ning (vraiment très bien), une initiative intitulée “Social World in Progress / Le monde social en construction ” qui vise, justement, à promouvoir une vision et permettre la mise en place d’un monde différent que je vous encourage vivement à rejoindre !

vendredi 16 mai 2008

Qui m'aime me suive ;o)


Je fais comme Francis Pisani. Vous pouvez me retrouver ici aussi

jeudi 15 mai 2008

Question existentielle


Comme vous pouvez le constater, ce blog me pèse dorénavant. Il faut se méfier des "bonnes" idées. Il était clair, d'entrée de jeu, que non seulement les promesses ne seraient pas tenues, mais qu'à faire semblant de vouloir les tenir, on verrait bien ce qui était réellement en jeu.

L'image qui me vient en tête est certainement excessive, et pourtant. Les élections de l'année dernière me font penser à Munich et, un peu dans le désordre il est vrai, à la montée des totalitarismes.

Je blogue moins parce que j'ai le sentiment, pour ce qui me concerne, que commenter l'actualité, c'est entrer dans le jeu des gens qui la manipulent. Pour ceux qui ont approché les marchés à terme de matières premières, les émeutes de la faim, la montée des prix, quand on connaît la réalité des choses, font tout de suite penser à des opérations destinées à faire monter les cours mondiaux et à précipiter des crises dont certains vont profiter.

C'est vrai aussi pour les nouvelles technologies. On mélange tout... par ignorance. Par manque de mémoire aussi. Du coup, là aussi, on fait le jeu des marchands du temple. Et ce, au détriment, de tout un chacun et pire encore, des gens sans défense à commencer par les enfants.

C'est au point que j'en viens à reconnaître la modernité d'aujourd'hui, au fait que la misère qu'elle développe finit, comme l'argent, par ne pas avoir d'odeur... Il n'y avait pas de miracle à attendre des élections de l'année dernière. Et pour une raison finalement très simple. Aujourd'hui, chacun dispose des moyens de décider de son destin. Il n'a plus rien à attendre de systèmes politiques et administratifs qui roulent d'abord pour eux.

Et donc l'important, aujourd'hui, ce n'est pas tant de s'équiper pour découvrir les performances inouïes de ces drôle de machines que d'apprendre à savoir ce que l'on veut pour soi et pour les siens. Ce n'est que par rapport à la réalisation de tels objectifs qu'il sera alors possible de comprendre et d'évaluer les services effectifs rendus par ces drôles de machines...

En attendant, on tente d'entrer dans la société de la connaissance bardés de croyances et de certitudes quasi mystiques, c'est-à-dire d'ignorance... Un comble, et pourtant.




lundi 5 mai 2008

Sarkozy modeste...


Sarkozy a déclaré au Monde : "J'essaye de raconter une histoire aux Français". Il n'essaie pas. On le sait maintenant, depuis le début, il ne fait que ça, raconter des histoires aux Français !

Voilà un billet pas charitable. J'avoue. J'ai pêché. J'ai succombé à la tentation.

Et pendant que je suis là, j'en profite pour vous dire qu'il va falloir, moi aussi, que je revienne dès que possible (pas avant la semaine prochaine), pour faire le point sur ce blog à un an de sa création.

A très bientôt donc...